D’autres exemples d’économie de la fonctionnalité
D’après sa définition, l’économie de la fonctionnalité est « un modèle d’affaires qui consiste à vendre l’usage aux clients plutôt que les biens matériels qui supportent cet usage ». On peut alors citer plusieurs exemples :
- Michelin :
Eh oui Bibendum mais pas pour tout le monde ! En effet, il faut posséder pas moins de 200 poids lourds pour ne plus avoir à acheter des pneus mais à payer au kilomètre parcouru. Nom de code : Michelin Fleet Solutions
- Canon :
On ne paye plus l’imprimante, on paye à l’impression… enfin presque ! L’entreprise propose un service aux entreprises pour gérer au mieux leur besoin en impression. Nom de code : Canon Managed Printed Services (MPS pour les intimes)
- Ecocup :
N’achetez plus des gobelets jetables pour vos événements ! Louez-les, mettez en place une consigne, récupérez-les et rendez-les. Nom de code : Location de gobelets
Pour une économie de la fonctionnalité partout ?
On pourrait imaginer ce type de fonctionnement dans de nombreux secteurs et lutter contre l’obsolescence programmée (technique visant à réduire la durée de vie d’un produit afin d’en augmenter le taux de remplacement). Par exemple en payant :
- au nombre de lavage et pas la machine à laver
- l’heure d’éclairage et pas l’ampoule
- le temps de communication et pas le téléphone
- …
Réfléchissez, avec l’économie de la fonctionnalité l’intérêt de l’entreprise (un produit solide) s’aligne avec l’intérêt de l’utilisateur et celui de l’environnement (moins de déchets) ! Une initiative #EcoloHumaniste 🙂
Et pourquoi le vélo ?
Nous n’avons pas choisi notre exemple par hasard !
- Nous sommes des utilisateurs réguliers du Vélo’v (le premier service de ce type qui a débarqué en France #LeVelibEstUnVelovParisien)
- Le vélo est un mode de déplacement qui pourrait avoir « un impact considérable » dans la diminution de gaz à effet de serre
- C’est bon pour la santé
Alors à vos marques, prêt… pédalez !
Laisser un commentaire